Toute grande pensée est de l’ordre du lapsus, Jean Beaudrillard,  Cool Memories – 1980-1985

Votre futur addiction: Hootsuite

Il existe un logiciel qui vous permet de gérer votre compte Twitter. Bien sûr, ce n’est pas le seul, mais celui-ci, c’est mon préféré. Supposons que vous ayez 5 comptes Twitter avec des centaines de followers sur chacun d’eux. Au lieu de passer de l’un à l’autre indéfiniment, vous apprécierez d’avoir tous vos comptes sur le même panneau de gestion, non? Hootsuite vous permet de gérer tous vos comptes, de programmer vos Tweets (pour les prochaines années si vous le souhaitez), voir qui vous a cité, lire vos messages directs, obtenir des statistiques basiques sur la provenance de vos lecteurs et sur les Tweets qui ont le mieux fonctionné. Les personnes à qui j’en ai parlé sont fans à ce jour.

Concrètement, vous allez sur le site web d’Hootsuite, vous créez compte gratuit et vous pouvez commencer à jouer avec.  L’autre gros avantage de ce programme est qu’il permet de gérer plusieurs réseaux sociaux: Facebook (profils et Fan Pages), WordPress, 4Square, LinkedIn, parmi les principaux. Vous pouvez tous les ajouter et programmer des mises à jour quand vous le souhaitez. Cependant, les statistiques ne sont disponibles que pour les comptes Twitter.

J’ai également travaillé avec SocialOomph. A titre de comparaison, Hootsuite est beaucoup plus simple à utiliser. Bien sûr ce n’est qu’une question de point de vue. Qu’est-ce qui fait qu’Hootsuite est si simple? Vous vous repérez facilement sur le panneau de gestion, le design et les termes utilisés ne portent pas à confusion, même s’il est en anglais. Il suffit d’observer pour comprendre le fonctionnement. Petit plus: le logo d’Hootsuite est mignon comme tout et il fait des blagues quand il bug! 🙂

Voici à quoi ressemble le panneau de gestion:

5 outils pour trouver des followers (et un peu plus!)

Twitter est un outil magique et addictif. Magique car c’est un flux énorme d’information continu. Et oui, vous entrez #mot clé et vous trouvez tout un tas d’infos relative à ce mot clé. Le # permet en effet de faire ressortir un sujet en particulier, mais ce n’est pas l’objet du post. Addictif: on veut suivre l’actualité, savoir ce que les gens disent. Mais quels gens? Ah oui, pour optimiser un compte Twitter, il faut des gens dessus. Rappelons les notions de base: personne qui vous suit = follower, personne que vous suivez = following. J’utilise les termes anglais car ils sont plus jolis que ceux que l’on utilise en français.  🙂

Donc, voilà le premier problème, comment fait-on pour construire un réseau sur Twitter? Il existe bien sur des logiciels qui vous permettent de gonfler vos comptes très rapidement. Cependant, ces logiciels vont vous apporter une grande quantité de followers qui n’auront pas forcément de lien avec votre activité, ou pire, des spammers! Comment je le sais? J’ai utilisé ces outils lors de mon stage et pour être honnête, je n’adhère pas à ce principe, donc je ne vous donnerai pas le nom de celui que j’ai en tête! Et toc! Mais je vais faire beaucoup mieux que ça.

Je vais vous donner une liste (probablement non exhaustive) de logiciels que vous pouvez utilisés pour « suivre » des « personnes-cibles » sur Twitter. Ready? Let’s go! Je vous précise maintenant que je ne vais pas faire une étude approfondie de chacun des sites, tout simplement car je ne les ai pas tous utilisés et que je ne voudrais pas écrire de bêtises dessus.  Je pense que c’est  à chacun de déterminé celui avec lequel il veut travailler.

1- Search Twitter. Très bon aussi. Facile à utiliser, pas besoin d’autoriser l’application à se connecter sur Twitter et le design du site fait qu’on s’y retrouve facilement.

2- Tweepsearch. Il faut autoriser l’application sur votre compte Twitter, personnellement je n’y vois pas d’inconvénient mais je sais que certaines refusent de faire ça. Dans ce cas, Twellow serait préférable. Cette application donne également des détails précieux sur les utilisateurs, dont le nombre de mises à jour: si le nombre de mises à jour est très important, c’est probablement un spammer, on ne veut pas de spammer!

3- Twellow. Celui-ci, c’est un de mes préférés. Vous pouvez obtenir une description des personnes. Centres d’intérêts, provenances, nombre de personnes dans leur réseau, site web s’ils en ont…Et vous n’avez pas besoin d’autoriser l’application sur votre compte Twitter. C’est en quelque sorte les pages jaunes de Twitter. Très complet.

4- Buzzom. Le problème avec celui-ci, c’est qu’avant on pouvait faire une recherche par mot-clé, mais plus maintenant, donc beaucoup des personnes proposées dans les listes ne sont absolument pas pertinentes. L’avantage de ce site est qu’il donne des détails sur les statistiques de votre compte Twitter: nombre de followers, following évidemment, mais aussi « buzzom score », plus il est élevé/en progression, plus vous gérez votre compte Twitter comme un chef!

5- Tweepz

Voici quelques sites web supplémentaires:

MrTweet, NearbyTweets, FriendorFollow, TwitterFeed, JustTweetIt, WeFollow.

Pour ceux qui vont me dire: « oui, mais c’est en anglais! ». Entrez vos mots-clés en français et vous verrez les profils français apparaître! ;).

Voilà, pour tout commentaire, question, envie de parler, laissez-moi un commentaire 🙂

Voilà, après avoir lu ce livre the Power of Focus, j’ai décidé d’opérer quelques changement dans ma vie professionnelle. Je sais en tant qu’étudiante, ça fait un peu pompeux comme terme, mais un stage est un emploi à part entière, enfin; selon moi.

Mon stage dans le domaine des médias sociaux se passe bien et m’intéresse de plus en plus, maintenant, je suis curieuse de voir si les méthodes, trucs 1 astuces apprises à Londres peuvent s’appliquer chez nous. Normalement, ça devrait être possible…Je suis également intéressée de voir si je suis capable de transmettre de façon claire et précise ce que j’ai en tête à quelqu’un’ un qui n’y connais rien. Bon entrainement pour ma soutenance de septembre en même temps!

Objectif 1: trouver des entreprises intéressée par un peu de communication en ligne.

Objectif 2: mettre en place des solutions adaptées à chacune d’elle, former les personnes ou effectuer le suivi. But: gagner de l’expérience et des références.

Objectif 3: essayer de réduire ma consommation d’internet…

L’objectif 1 est en partie accomplit, demain matin, je rencontre ma première entreprise pour une séance de conseil. Je n’utilise pas le terme consulting, ça fait trop professionnel. La personne semble très motivée mais à besoin de se structurer un peu plus (beaucoup plus, en fait). Un mélange de curiosité et d’excitation se développe!!

J’ai remarque pendant mon stage que j’ai développé une déformation professionnelle si l’on peut dire. Je ne peux pas m’empêcher de m’énerver contre les personnes qui n’utilisent pas internet et les réseaux à bon escient. Du coup, j’en ai contacter quelques uns pour leur proposer de structurer les choses un peu mieux. Comme quoi, parfois il suffit de demander…Je me demande cependant si l’ensemble des techniques apprises et outils utilisés sont peuvent fonctionner. Enfin, je pense avoir une idée plus précise après ce rendez-vous: testons l’art de persuader…

Les gens toxiques

Toujours à propose de ce livre: the Power of Focus. Ce livre me marque. Un passage traite des personnes toxiques. Ces personnes qui vous plombent le moral parce qu’elles sont négatives. Les auteurs conseillent de laisser tomber ces personnes, tout simplement. Quelque soit la nature de la relation que vous avez avec elles. Amis inclus. J’avoue que ce passage m’a intriguée: doit-on s’éloigner de ces amis soi-disant toxiques?

Mais réflexion faite, il est vrai que certaines personnes ne sont pas capables d’adopter une attitude positive (vous avez pensez à la chanson, non?). Du coup, on se retrouve plus ou moins influencés par ceux-ci. Être influencé par quelqu’un d’autre n’est pas forcément mauvais, il y a en effet des influences positives: des gens qui vont vous encourager, vous soutenir, vous conseiller…Mais que penser de ceux qui sont d’infatigables pessimistes? Au final, ces personnes ne sont nous sont pas utiles et pour peu que l’on se sente bien, leur contact nous ‘plombe’.

Jusqu’à présent, j’avais toujours considéré l’amitié comme quelque chose d’important, ça l’est toujours. Après avoir lu ce chapitre, j’ai réfléchit. Dans mon entourage, il y a bien des personnes que l’on pourrait considérer comme « toxiques »…qui sont toujours à se plaindre sur leur sort. Il n’y a parfois rien à faire pour leur transmettre un peu d’énergie et de positivité. Je ne prétends pas, bien sûr, être 100% positive tout le temps, mais c’est fatiguant de passer son temps ) essayer d’aider les autres qui au final n’ont peu être pas envie d’être aidés…

Je me suis aperçue avec le temps que les relations avec ce type de personnes finissent par s’arrêter d’elles-mêmes. C’est triste à dire, mais on finit par se retrouver avec les personnes qui ont un intérêt commun avec nous. On passe de plus en plus de temps avec eux, lorsqu’on se retrouve avec ses relations « toxiques », on s’ennuie…et le fossé se creuse de plus en plus…

Du coup, je suppose que naturellement on s’éloigne des personnes qui ont une influence négative sur nous…

The Power of Focus – quand on se sent submergé

On a tous des dons naturels, c’est un fait. Certaines personnes mettent beaucoup de temps avant de trouver leur don, d’autres ne le trouvent jamais, d’autres encore l’on trouvé mais ne l’exploitent pas! Le fait de se connaître soi-même et de savoir quelle est cette particularité naturelle qui est la notre peut nous aider dans la vie de tous les jours, que ce soit d’un point de vue professionnel ou personnel.

Lorsqu’on se trouve dans un cadre professionnel l’important est de savoir rester concentrer sur l’essentiel, de savoir quel est le domaine dans lequel on se sent à l’aise et performant afin de l’exploiter au maximum. Cependant, on peut également se sentir submergé par les tâches du quotidien, qui doivent être effectuées quoiqu’il arrive. Le livre « The Power of Focus » a développé un procédé qui permet de se dégager du temps afin de pratiquer davantage capacité naturelle d’une personne. Ce procédé se nomme: 4-D Solution.

Quelques mots dessus, il s’agit d’un processus en 4 temps. Phase 1: « dump it! ». Apprendre à dire non pour certaines tâches qui ne sont pas si urgentes.  En général, dans une entreprise de plusieurs salariés, vous trouverez quelqu’un qui exécutera la tâche aussi bien (voire même mieux parfois!) que vous. Phase 2: « delegate it ». Déléguer, déléguer! Vous avez autre chose à faire et vous avez un assistant ou un collègue capable d’effectuer la tâche: confiez-lui! Cela vous donnera plus de temps libre pour vous consacrer à ce que vous faites le mieux! Phase 3: « defer it! » Reporter ce qui peut l’être (dans la mesure du raisonnable!). Phase 4: « do it », ce qui doit être fait, doit être fait maintenant! On ne reporte que ce qui peut l’être.

Ce sont des techniques simples mais efficaces, encore faut-il avoir quelqu’un à qui déléguer, je pense à des entreprises de petites taille qui vont parfois compter 1 ou 2 salariés. Si vous êtes vraiment submergé, pensez aux assistants virtuels. Grâce à internet vous pouvez engager quelqu’un à distance et rester en contact permanent avec la personne avec des outils du genre Skype. Vous pouvez engager quelqu’un pour quelques heures par semaine sans que la personne n’ait à se déplacer pour disons 5 heures de travail dans la semaine.

The Power of Focus – des habitudes

En ce moment, je suis dans la phase « développement personnel » (et je ne sais pas pourquoi mais mon entourage s’en inquiète!) et je lis ce livre: The Power of Focus. Ce livre apprend au lecteur à se concentrer sur ce qui est important pour optimiser ses ressources, voilà pour les grandes lignes!

Pourquoi j’écris sur ce livre? 3 raisons: je le trouve très intéressant, j’ai une mauvaise mémoire, donc en parler va m’aider à le mémoriser, mais je pense aussi qu’il peut aider certaines personnes à se remettre en question! J’ai déjà commencé à mettre en place certaines nouvelles habitudes et j’en suis plutôt satisfaite!

Ce qui est intéressant, c’est que ce livre parle de choses qui paraissent évidentes quand on les lit! La première partie traite des habitudes. Il explique que pour réussir, il faut avoir de bonnes attitudes, que les mauvaises habitudes ont un impact à long terme, mais que développer de bonne habitudes est un processus long et difficile. Réflexion personnelle: c’est certainement pour cette raison que nous commençons beaucoup de choses sans les terminer!

On nous explique donc qu’il faut développer des habitudes positives dans tous les domaines de notre vie afin de changer positivement cette dernière à long-terme et de réussir ce que l’on entreprend, que ce soit d’un point de vue personnel et/ou professionnel. Le développement d’une nouvelle habitude, si celle-ci se maintient dans la durée, devient un comportement et donc un automatisme. 90% de notre comportement est basé sur des habitudes (selon ce livre).

Il est donc important de prendre conscience des mauvais automatismes que l’on a mit en place afin de les améliorer. Les comportements ne sont pas totalement négatifs, on a aussi beaucoup de bonnes habitudes! Ne désespérons pas! Heureusement pour nous, ce livre donne une méthode pour améliorer chacun de nos points faibles! Voici la stratégie pour s’améliorer:

1- identifier les mauvaises habitudes (ou habitudes improductives)

2- en définir de nouvelles plus efficaces

3- créer un plan d’action en 3 parties. Ce plan d’action comporte 3 phases:

qu’est-ce qui me retient d’agir? (un exemple + donner sa conséquence)

mise en place d’une nouvelle habitude (un exemple + donner sa conséquence)

plan d’action (qu’est-ce que je vais mettre en place pour changer).

Une phrase du livre pour résumer le livre:  « si on agit comme on a toujours agit, on obtiendra ce que l’on a toujours obtenu ». A bon entendeur…comme ils disent: « it’s all about focus ».

Mon boss, ce héro!

Aujourd’hui c’était mon anniversaire, rien de spécial me direz-vous! Sauf, que je ne suis pas en France, donc sans mes amis, sans ma famille, sans personne de proche en ce jour si spécial (je me permets une envolée lyrique, c’est mon anniversaire, quoi!).

Un fait: j’ai des patrons géniaux et originaux!

Anecdote 1! Hier soir, j’étais chez moi à regarder un film-pour-me-détendre (je ne donnerai pas le titre!) lorsque quelqu’un sonna à la porte. Dans la mesure où j’ai emménagé il y a à peine une semaine dans ce logement et que presque personne n’a l’adresse, j’ai laissé mes colocataires répondre. Puis, l’un deux frappe à ma porte avec une lettre à la main: « tiens, on a déposé ça pour toi! ». Sans être capable de me dire qui c’était…J’avoue, j’ai commencé à m’inquiéter! Qui irait déposer une lettre à 22h30 chez moi sachant que personne ne sait où j’habite! Réponse: mon boss!

Parce que mon boss voyez-vous, il est pas tout à fait classique! Il dépose des cartes postales chez les stagiaires dans la nuit, il les appelle dans la journée sans autre message que la chanson « Happy Birthday to you »…et tout ça pourquoi? Parce qu’il sait que vous êtes seule dans cette grande ville de fou et qu’il pense qu’un peu d’humanité vous ferait du bien! Et, il a raison!

Anecdote 2: Le jour J (5 mai), ils m’ont préparé un goûter surprise! 🙂

Enfin, ça fait toujours plaisir! Je tiens à préciser que c’est aussi un excellent professionnel, pas seulement un original!

Comment je chasse les gens

Dans mon boulot (ok, stage!), une partie de mes missions consiste à trouver des collaboreurs pour mon entreprise. Nous travaillons essentiellement sur internet et médias sociaux, en particulier. Pour résumer, il s’agit d’un site web auquel des bloggers vont collaborer. Le but de l’entreprise est d’aider les gens dans leur vie de tous les jours (conseils, coaching, promotions…).

Pour trouver nos futurs collaborateurs, j’utilise bien sûr Google, des moteurs de recherche de blog, Twitter (eh oui!)…Là, ça se corse! Parce que j’ai des contraintes! Il faut que la personne ait un blog, un compte Twitter, du contenu (intéressant!) et que tout ça soit mis à jour régulièrement! Bon, admettons que je trouve « la perle »: il a un blog, un compte Twitter, il est actif et intéressant, MAIS: il a pas de rubrique ‘contact’ ou tellement pauvre, qu’elle ne sert à rien! En tant que « chasseuse », si je vois un formulaire pour contacter, je zappe! Pourquoi ne pas donner un numéro de téléphone? Ou Skype? Je veux juste vous proposer du travail, pas vous embêter! 🙂

Une nouvelle (et bizarre)expérience (1)

Le dernier mercredi du mois de mars 2010 (je vais retrouver la date exacte et vous la donner!), je suis allée à une rencontre du Yes Group à Londres, là où je fais mon stage! Ce groupe a été fondé il y a une vingtaine d’année par l’associé de mon patron. Pendant les premières semaines de mon stage, j’ai entendu « Yes Group » je ne sais combien de fois dans la conversation, du coup, j’ai demandé à aller voir ce que c’était que cette réunion!

Le principe de ces rencontres est de mettre en relation des gens. On réunit toutes ces personnes dans une salle, il y a des conférenciers qui viennent parler de différents thèmes (développement personnel, expériences vécues…), pour mettre un peu plus d’ambiance: un présentateur! Je sais présenté comme ça, ça ne paraît pas très sérieux. Cependant, les soirées se déroulent entre plusieurs parties et là, ça devient intéressant! Entre 2 conférences, il y a ce qu’on pourrait appeler des séances de networking!

Vous choisissez quelqu’un dans la salle, vous avez 5 minutes pour faire connaissance: savoir ce que vous faites dans la vie, ce que vous avez en commun et surtout, la question existentielle: en quoi puis-je vous aider?! J’ai trouvé assez surprenant d’aborder quelqu’un et de lui demander presque directement: qu’est-ce que vous faites et en quoi je peux vous aider? Mais au final, j’ai bien aimé cette soirée, j’ai donc décidé de rejoindre leur Fan Page sur Facebook! Quelques jours plus tard: une proposition d’emploi! La suite au prochain post!

Permettez-moi un P.S: ne vous fermez pas quand vous rencontrez quelqu’un car vous ne savez pas qui vous avez en face de vous!

Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur le Yes Group de Londres: http://www.yesgroup.org.uk/

Réflexion: l’importance d’être entouré

L’autres jour, sans raison particulière, je me suis mise à penser à des personnages historique ayant connu une destinée exceptionnelle, en particulier lorsqu’ils étaient jeunes. Un exemple, Alexandre le Grand, mort à 33 ans après avoir été roi et maître du monde à cette époque!

Quelques données sur ce personnage :

Il a étudié avec Aristote. A 12 ans, il dompte un cheval (le célèbre Bucéphale). Il fonde 70 villes portant son nom. Il unifie (du moins momentanément) les territoires conquis: Grèce, Syrie, Afghanistan, Egypte…Pas mal pour quelqu’un qui n’a vécut que 33 ans!

Pour être honnête, je ne suis pas historienne et les données ci-dessus viennent de Wikipédia, mais quand je pense à ce personnage, je ne peux pas m’empêcher d’être impressionnée! J’utilise le mot personnage, tout simplement, parce qu’il paraît presque irréel!

Maintenant, si lui a réussit à accomplir ce qu’il a accomplit, j’imagine que tout le monde a en lui certaines ressources, certaines motivations, qui permettent de faire quelque chose de plus ou moins grand dans  sa vie? Je ne parle pas de conquérir le monde bien sûr! Quoique… Sérieusement, j’ai remarqué autour de moi que beaucoup de personnes se plaignent de ne pas se sentir bien dans leur situation (personnelle, professionnelle…) mais elles ne font rien pour améliorer leur sort. De là découlent plusieurs questions: Pourquoi? Quelles sont les barrières? De quoi avons-nous peur? Est-ce qu’on a besoin d’une aide extérieure pour accomplir quelque chose?

On remarque qu’en général, les personnes ayant connu une destinée hors du commun n’étaient pas seules. Elles étaient souvent accompagnées d’un ami, d’une famille, d’un mari, d’une épouse, (d’une armée pour Alexandre). Et si c’était ça la clef? Obtenir du soutien de la part de personnes plus ou moins proches afin de sortir de la masse?

Maintenant, nous avons quitté l’Antiquité depuis un certain temps et nous disposons de nouveaux moyens (internet, réseaux professionnel, coaching…). Pourquoi pas les utiliser afin trouver le support dont on pourrait avoir besoin, car parfois les personnes qui sont les plus aptes à nous aider ne sont pas forcément celles dont nous sommes les plus proches!

Vous feriez confiance à quelqu’un que vous ne connaissez pas « physiquement » mais que vous avez rencontré sur un réseau et avec qui vous partagez des intérêts communs? Pensez-vous qu’un soutien est nécessaire pour accomplir quelque chose?